mercredi 14 décembre 2011

Et c'est reparti!

Bonjour,

Eh oui, je vous néglige, mais n’essayez pas, je me sens même pas mal. C’est qu’on est un peu tombés dans la routine depuis notre arrivée à Wellington. La première semaine, on en a profité pour visiter : Le Te Papa, le plus gros musée de Nouvelle-Zélande, le Wellington City museum, les jardins botaniques, le cable car. C’était bien agréable. Et vous aurez sans doute deviné ma partie préférée. Roulement de tambour : le Te Papa, avec ses expositions sur plusieurs aspects naturels du pays : volcans, faune, flore tremblements de terre, et, en prime, une exposition sur la revue Vogue Nouvelle-Zélande et la mode des années 55-65. On aime.

Parlant de tremblements de terre, nous avons vécu nos deux premiers tremblements de terre néo-zélandais pendant notre séjour à Wellington, dont un de 5,7 le pire en plus de 20 ans. On se sent tellement privilégiés… ou pas.

Bon, revenons aux choses sérieuses. Le travail. Comme j’étais tombée en amour avec le Te Papa, nous avons décidé de tenter de se trouver un travail à Wellington. Et j’ai tout essayé, mais il semble que personne dans cette ville ne veut de moi. Au moins, on a trouvé un endroit où habiter pour moins cher que des auberges de jeunesse : une chambre dans une maison internationale, avec une Néo-Zélandaise, des Irlandais et des Allemands. Huit personnes dans une maison avec une toilette, une douche et une petite cuisine. Et on ne se pile étrangement pas trop sur les pieds.

Malheureusement, nous avons décidé de ne pas rester ici, mais plutôt d’aller visiter l’île du sud, en attendant que des opportunités se présentent à nous. Je n’ai pris presque aucune photo de Wellington, mais de toute façon je ne pourrais pas vous en montrer, parce que la connexion internet est  beaucoup trop lente.

Alors nous quittons demain matin, jeudi, vers 6h30 (je prévois d’avance un manque de sommeil), pour prendre le traversier et traverser le détroit de Cook. Et après, arrivée sur l’île du sud! Wouhou! J’aurai alors plein de nouvelles choses à raconter mais malheureusement pas le temps de le faire, alors, chers amis, prenez votre mal en patience. Prochain arrêt : le parc national Abel Tasman. Et comme je n’ai vraisemblablement plus rien à dire, je vous dis à la prochaine fois. 

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